Dans le monde des affaires actuel, centré sur le client, il est facile d’oublier qu’il existe d’autres parties prenantes qui permettent à une organisation de prospérer. Sans vouloir minimiser l’importance de modeler vos activités autour des besoins des clients, les autres aspects de l’entreprise sont tout aussi importants. Parlons de l’expérience des employés.

Imaginez que vous êtes dans les dernières étapes de recrutement pour un poste à enjeux élevés, peut-être pour un poste technique de haut niveau ou un poste de direction. L’entreprise a besoin d’un candidat particulier. Il est intéressant de noter que l’une des conditions d’emploi est le choix de la technologie. Le candidat recruté ne travaillera qu’avec une plateforme ou un écosystème spécifique. Votre entreprise peut-elle s’adapter suffisamment pour attirer un tel candidat?

Il est de plus en plus courant de proposer une préférence de plateforme pour s’assurer qu’un employé est aussi productif qu’il peut l’être, comme nous l’avons constaté auprès de nos clients dans tous les secteurs. Les choses n’ont cependant pas toujours été ainsi. Nous pouvons retracer ce phénomène à la fin des années 2000, lorsque des cadres supérieurs d’entreprises ont changé leurs appareils BlackBerry pour des iPhone. Auparavant, les TI des entreprises choisissaient la « meilleure » plateforme pour l’ensemble de l’organisation en fonction de plusieurs facteurs décisifs, tels que le coût, la compatibilité avec les logiciels existants et les références du secteur, et c’était tout. À l’époque où les TI étaient connues sous le nom de « Département no », l’expérience du personnel ne figurait pas parmi les priorités qui influaient sur le choix de la technologie.

Cette pratique qui consiste à donner le choix aux employés ne se résume surtout pas à adhérer aveuglément à une mode du monde des affaires. Des données appuient les arguments en faveur d’une telle pratique. Il a été démontré que le déploiement de Mac équipés de M1, par exemple, améliore de 20 % le maintien en poste des employés, réduit de 80 % les temps de démarrage, diminue le nombre de tickets d’assistance technique et augmente de 105 heures la productivité de chaque utilisateur annuellement.* Le résultat final de ces chiffres se traduit par le fait que les employés se disent plus satisfaits et ont plus de chances de rester dans l’entreprise, ce qui est exactement ce que vous recherchez à cette ère de concurrence mondiale accrue pour les talents. Lorsque les dirigeants donnent aux travailleurs le pouvoir de choisir, ils contribuent également à créer une organisation plus saine et plus solide.

Il ne s’agit même pas de savoir si vous devez passer complètement d’une plateforme à une autre. Certains systèmes d’exploitation sont plus adaptés à certaines applications que d’autres, et les professionnels du secteur en sont parfaitement conscients. Il existe des applications traditionnelles qui ne devaient fonctionner qu’avec un écosystème spécifique. Certains types de matériel coûtent plus cher que d’autres, du moins au départ. Certaines plateformes peuvent sembler plus compliquées à déployer, à gérer ou à soutenir. Ce sont des points de friction que nous rencontrons souvent lorsque nous fournissons des solutions de gestion des appareils à nos clients.

Il s’agit de garder l’option ouverte pour les employés qui ont une plateforme préférée et qui savent qu’ils seront plus productifs parce qu’ils n’ont pas à apprendre les rouages d’un système étranger.

Comme la plupart des applications spécialisées locales, telles que les systèmes de comptabilité, les systèmes d’information des ressources humaines et les suites bureautiques, sont transférées dans le nuage informatique, la question de la compatibilité des applications existantes pose de moins en moins de problèmes à chaque cycle de mise à niveau de l’infrastructure. La discussion sur les coûts, après enquête, devient de plus en plus une question de perception. Par exemple, un MacBook Air commence à 1 299 $, alors qu'un PC peut coûter entre 700 $ et 3 500 $, selon les spécifications. Les entreprises qui ont ajouté les Mac et les iPhone à l’ensemble de leurs appareils ont également constaté qu’elles avaient réduit leurs dépenses de déploiement, diminué leurs coûts de gestion et d’assistance et réduit de moitié le risque d’atteinte à la protection des données dans leur environnement.

Pour les organisations soucieuses de l’environnement, la réduction de l’empreinte carbone par appareil Apple est également un avantage important. À partir de la conception et de la production qui produisent moins de déchets jusqu’à l’utilisation réelle tout au long de leur durée de vie, les Mac M1, a découvert Forrester, ne génèrent qu’une fraction des émissions de CO2 par rapport aux appareils similaires.

Tandis que la culture de travail poursuit son évolution, l’importance accordée aux employés deviendra un élément encore plus déterminant du tissu organisationnel. Nous verrons de plus en plus d’entreprises tirer parti de la technologie pour défendre la satisfaction du personnel, acquérir et conserver des talents, et offrir l’accessibilité à tous.

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